L’IRS a publié sa mise à jour annuelle corrigée de l’inflation des limites d’amortissement pour les voitures particulières (y compris les fourgonnettes et les camions) mises en service en 2021 (Rev. Proc. 2021-31). De la même manière, la procédure relative aux revenus met à jour les montants d’inclusion dans le revenu des locataires de voitures particulières en ce qui concerne les véhicules dont la durée de location commence en 2021. Ces limites sont mises à jour annuellement pour tenir compte de l’inflation en fonction de la composante automobile de l’indice des prix à la consommation en chaîne pour les consommateurs urbains.
Pour les voitures particulières auxquelles s’applique la déduction pour amortissement de la première année et qui sont acquises après le 27 septembre 2017 et mises en service au cours de l’année civile 2021, la limite d’amortissement en vertu de la Sec. 280F(d)(7) est de 18 200 $ pour la première année d’imposition (une augmentation de 100 $ par rapport à 2020); 16 400 $ pour la deuxième année d’imposition (une augmentation de 300 $); 9 800 $ pour la troisième année d’imposition (une augmentation de 100 $); et 5 860 $ pour chaque année suivante (une augmentation de 100 $).
Pour les voitures particulières auxquelles aucun bonus d’amortissement de la première année ne s’applique, la limite d’amortissement en vertu de la Sec. 280F(d)(7) est de 10 200 $ pour la première année d’imposition ; 16 400 $ pour la deuxième année d’imposition ; 9 800 $ pour la troisième année d’imposition ; et 5 860 $ pour chaque année suivante.
Seconde. 280F(c) limite les déductions pour le coût de location d’automobiles, exprimé en montant d’inclusion dans le revenu. Cette limitation, calculée selon une formule et des tableaux prescrits en vertu du Règl. Seconde. 1.280F-7, est destiné à être substantiellement équivalent à la limite d’amortissement. Tableau 3 de la Rév. Proc. 2021-31 fournit des montants en dollars à inclure dans le revenu pour les locataires d’automobiles de tourisme dont la durée de location débute en 2021, pour chaque année du bail, en fonction de la juste valeur marchande de l’automobile.
— Paul Bonner ([email protected]) est rédacteur en chef de JofA.