Van Bael & Bellis représentaient l’Association des constructeurs automobiles européens.
Van Bael & Bellis a représenté l’Association des constructeurs européens d’automobiles (ACEA) dans son intervention dans l’affaire historique Ville de Paris (affaires jointes C-177/19 P, C-178/19 P et C-179/19 P) concernant l’interprétation des dispositions de la directive 2007/46/CE établissant une procédure de réception à l’échelle de l’Union des véhicules à moteur et de leurs remorques, ainsi que des systèmes, composants et entités techniques destinés à ces véhicules. L’article 4, paragraphe 3, de ladite directive interdit aux États membres de restreindre la circulation des véhicules pour des motifs liés à des aspects de leur construction ou de leur fonctionnement couverts par la directive 2007/46/CE s’ils satisfont aux exigences de la directive.
Par son arrêt du 13 janvier 2022, la Cour de justice de l’Union européenne a constaté que l’article 4, paragraphe 3, de la directive 2007/46/CE n’empêchait pas les communes de Paris, Bruxelles et Madrid de limiter la circulation locale, pour des raisons environnementales , de véhicules Euro6 conformes aux exigences du règlement connexe 2016/646 établissant un « facteur de conformité » pour les émissions de NOx mesurées lors des essais d’émissions en conduite réelle (RDE) réalisés dans le cadre de la procédure de réception par type. La Cour a ainsi conclu que le règlement 2016/646 ne concernait pas directement les communes concernées et a annulé l’arrêt du Tribunal, déclarant les recours en première instance irrecevables.
L’ACEA était représentée par les partenaires de Van Bael & Bellis Fabrizio Di Gianni (photo) et Gabriele Coppo.
Rémunérateur impliqué : Gabriele Coppo – Van Bael & Bellis ; Fabrizio Di Gianni – Van Bael & Bellis ;
Cabinets d’avocats : Van Bael & Bellis ;
Clients : Association des constructeurs européens d’automobiles ;